Pendant la fin de la crise sanitaire, la minime musique de l’austérité de se mettre à se faire remarquer. Le gouvernement s’est pris au chevet d’une économie entravée par les restrictions sanitaires. Cet article vous procura plus d’informations sur la mise en place des autres solutions pour assurer la stabilité et la pérennité de la finance après l’annulation de dette.
Illusion technique
Dans la situation actuelle, certaine des amis avec que l’on partage proposent des solutions comme : il faut que la banque centrale européenne doive faire la suspension des titres de dette publique qu’elle possède. Pour eux, cette suspension favorisera de recouvreur des marges de manœuvre budgétaire. Pour eux, cette suspension favorisera de recouvreur des marges de manœuvre budgétaire. Cette suggestion revient à l’irréalité de produits intérieurs bruts tandis que français n’est pas menacé. L’annulation par la BCE frappe les imaginaires, ce qui ne correspond pas à la réalité. La dette n’est pas retenue par la BCE, a contrario par les banques centrales nationales. Ce qui signifie, que la banque de la France désisterait à sa créance sur le gouvernement français.
Un intérêt moins douteux
Les distributeurs de cette annulation avancent d’autres arguments. Les créanciers privés ne peuvent savoir comment approuver la réduction du stock faite par le créancier public. Pour effacer les menaces à la dette publique, qui est fait en une zone euro est important pour sortir des logiques financières de l’Etat par les marchés. Certes, la suggestion d’annulation de la dette faite par l’écosystème effectue actuellement l’inverse, qui consiste à effacer la dette détenue hors du marché dans le but de remplacer après une nouvelle dette. Cependant la verdie est recontractrée sur le marché financier. Ce qui favoriserait à renforcer le rôle du central.