La crise sanitaire a fragilisé l’économie des grandes nations. En parlant de grande nation, nous faisons particulièrement allusion à la France. Dans la suite des lignes nous allons montrer le plan d’un des éminents politiciens pour pouvoir rehausser cette économie
Plan de sauvetage de l’économie française
Soit 250 milliards de dollars a été proposés à la France afin qu’elle puisse relancer son économie. Cette proposition est faite par le haut-commissaire au Plan François Bayrou. Impressionnant venant de la part de cet homme. Pour ceux qui ne le savent pas François Bayrou est un grand politicien qui au cours de ses candidatures pour la présidence en 2007 et en 2012 était contre les affaires de dette, mais aujourd’hui face à la crise sanitaire il a changé d’opinion. Cela se justifie non seulement par le fait qu’il ait proposé au conseil économique social et environnemental unerelance de l’économie avec 250 milliards d’euros. Cette onéreuse somme amène Bayrou a pensé à une mise en place d’un plan de reconquête des secteurs en relation avec la recherche, l’innovation et en particulier au numérique. Les secteurs de commerce ne sont pas à excepter. Les calculs effectués par le haut-commissaire ont montré que l’application de ce plan entraîne un emprunt de 20 à 25 % du PIB dans le marché. Toutefois, il est possible que la France s’acquitte d’une telle dette avant 2030. C’est donc dire que si la proposition de Baryou se faisait accepter par le gouvernement, il faut que ce dernier s’apprête à trouver chaque année une somme comprise entre 15 à 20 milliards chaque année soit 0,5 % ou 0,7 % du Produit brut intérieur
La dette est la seule initiative
Lorsque nous nous basons sur l’histoire politique française, il serait très difficile d’adhérer que cette proposition vient de François Bayrou. Au prime abord, un feed-back en 2007 nous montrait en dépit du fait que la dette publique était inférieure à 65 % du PIB, le candidat Bayrou trouvait un tel acte irréfléchi. Néanmoins, le voilà aujourd’hui en train de suggérer une telle idée au conseil. Très surprenant comme changement. C’est à croire que la crise sanitaire avait impacté sur les idéologies de ce grand politicien. Car il va même à dire que la dette de la covid n’est rien comparer aux autres. Pour lui, elle est un effort de guerre.